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A M I R A U T E |
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Les troupes au sol |
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Amirauté n'est bien entendu pas un jeu de simulation de combat terrestre. Mais souvent les opérations au sol constituent le but ultime de la partie (débarquement, Guadalcanal, prise d'aérodromes côtiers) ou justifie les efforts consentis (escortes de convois). Sans entrer dans les détails, l'auteur du site reprend ici une règle proposée par un autre joueur (merci Rémi !) et l'agrémente d'un petit ajout. L'idée est de simuler les
combats au sol en utilisant la table de rapport de force pour les combats
aériens. Chaque avion représente alors 100, 500 1000 ou 10000
hommes selon les besoins et surtout l'échelle du scénario
(Guadalcanal) ou de la campagne (l'Afrique du nord et la campagne de Méditerranée).
On établit le rapport, lance un dé, et le résultat,
multiplié par le même rapport, donne le nombre de pertes.
La progression sur le terrain en kilomètres est égale à
la différence entre les partes des deux camps divisée par
100 (peut être modifié selon la nature du terrain). Un jet
de dé est fait périodiquement ((toutes les 24 heures de temps
de jeu par exemple ; mais une opération de débarquement peut
requérir un jet toutes les heures pendant trois heures ou six heures
jusqu’à ce qu’une tête de pont ait été établie
ou que le débarquement ait été repoussé).
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L'appui représenté
par les bombardements peut être simulé de la manière
suivante : on multiplie le nombre de points d'agression par 10, ce qui
représente le nombre de pertes subies. Quant au strafing, le nombre
de soldats éliminés est égal aux dommages d'une bombe
de 50 kg multipliés par 10.
Le ravitaillement des soldats par
les convois prend là toute son importance. Des soldats non ravitaillés
perdent 10% de leur efficacité par jour où ils ne sont pas
ravitaillés. Concrètement, au lieu de prendre par exemple
pour le camp non-ravitaillé "un avion = 100 hommes" sur la table
des combats, on prendra un avion pour 110 hommes le premier jour, 120 le
deuxième jour, etc. De la même manière, on peut simuler
le moral des combattants.
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Haut de la page Contactez-moi mise à jour le 9-VI-1999 |